La barbarie
Quel lien avec le progrès ?
On a vue avec le progrès que certaines civilisations le valorisaient et en concevaient une certaine satisfaction. Néanmoins, ces même sociétés progressistes n’ont pas pu ne pas ne pas se rendre compte que malgré ce progrès un certain nombre de comportements résiduels ont pu faire des réapparitions au sein même de ces civilisations sensées avoir connu un progrès moral et technique. Des comportements rencontrés à travers le colonialisme ou les guerres du XXe siècle. D’où un doute sur le caractère vraiment décisif de ce progrès dont on a pu se glorifier. Il semblerait que ces progrès n’aient pas suffi pour évacuer définitivement toute forme de barbarie.
Il est intéressant de constater qu’une forme de barbarie nouvelle a pu émerger dans une société des plus cultivé comme l’Allemagne. Une nation qui a fourni parmi les plus grands noms dans le domaine culturel a pourtant vu naitre le courant national socialiste d’Hitler, archétype de barbarie. Comme si un maximum de culture avait engendré un maximum de barbarie.
Notons que lorsque l’on emploie le terme de barbarie on fait référence au comportement violent et déshumanisé et non aux peuples étrangers au sens historique du terme. Ce n’est donc pas un concept antique ou moyenâgeux mais un concept toujours actuel qui pourrait même remettre en cause l’aspect positif du progrès.
La notion de mal.
Au cours des siècles on a eu tendance à penser que le mal était quelque chose d’accidentel chez l’homme, un fruit de l’ignorance ou encore quelque chose d’extérieur. Mais ne pas assumer que le mal est quelque chose d’intra sec chez l’homme serait se voiler la face. Il ne faut pourtant pas tendre vers l’extrême et considéré qu’il faudrait supprimer l’homme pour supprimer le mal du monde.
Un courant de pensé va alors tenter de montrer que « l’inhumain » est logé en chacun de nous et que sous certaines conditions la cruauté propre à l’homme, et non à l’animal, peut toujours