Lily Mirsepassi La Chanson de Roland est une chanson de geste qui peut bien représenter les caractéristiques de la littérature du Moyen Age. Dans cette histoire, il y a des multitudes des personnages qui veulent faire à tout prix ce qu’il faut pour servir le roi, Charlemagne, comme beaucoup d’autres poèmes épiques. Mais, tel que les autres histoires à ces jours, ceci a un vilain qui ne pense qu’à son propre bien-être, même si ça veut dire qu’il est un traître. Cependant, malgré les stéréotypes des vilains, Ganelon n’est pas complètement affreux et il ne cherche pas le pouvoir. Le personnage de Ganelon exige une connaissance de la nature humaine de laquelle les autres personnages n’ont pas besoin. Au début de la chanson, Ganelon à l’air d’aimer le roi Charlemagne, sauf l’indice qu’il « fit la trahison » (La Chanson de Roland ligne 178) au début de l’histoire. Lorsqu’il est à côté du roi, il semble raisonnable et fiable. Il est sympathique jusqu’au moment qu’il se sent un manque de respect. Dès que Charlemagne lui choisit d’aller voir Marsile au conseil de Charlemagne, Ganelon jure qu’il va se venger sur Roland à n’importe quel prix. Il est normal d’essayer de se battre contre quelqu’un qui nous maltraite, et sa prends de la maîtrise de soi de leur pardonner. Malheureusement, Ganelon garde l’esprit que Sigmund Freud dirait s’appelle l’Id : il ne s’arrête pas pour penser. Selon Freud, le psychisme de la nature humaine consiste de trois éléments : l’Id, l’Ego, et le Super-ego. Dans le cas de Ganelon, il n’y a que l’Id qui est important. Ce parti du psychisme fait le rôle de proposer comment il faut réagir aux situations.
L’Id propose qu’il n’est pas nécessaire de penser aux conséquences des actions, un trait que Ganelon fait partout dans l’œuvre. Il réagit immédiatement et avec une férocité terrible, même contre le roi Marsile. S’il a continué d’attaquer le roi comme il a commencé à faire, il serait rapidement tué. Incroyablement, son comportement de réagir si