La connaissance de soi suppose t'elle l'autre ?
Lorsque nous sommes encore de jeunes enfants nous nous connaissons comme deux personnes distinctes. Nous pouvons lancer un objet en l'air, si sa reception se fait sur notre tête nous regarderons qui nous l'a lancé.
Vers cinq ans parfois bien avant, nous prenons soudaunement conscience que nous sommes.
Il semblerait que ce déclic se soit fait sans l'aide de qui que ce soit, bien que le langage apparaisse comme l'un des principal facteur.
La connaissance suggère un savoir, un acquis, un gain que nous sommes capable d'expliquer.
Autrui lui est l'entourage, l'étranger puisqu'il est différent de soi. Ainsi l'étranger peut il avoir la juste mesure pour permettre la connaissance de la vérité de l'être qu'il n'est pas ?
Il semble que nous puisque l'on est, on connait nos idées et nos désirs, et on sait pourquoi ils sont en nous..
Selon Sartes qui est un existentialiste ce qui détermine la nature de l'homme ce sont ses agissements. On ne nait donc pas peureux ou brave mais on le divient peu importe les raison extérieurs. Nous sommes donc en mesure de nous connaitre sans autrui bien qu'une action suffere l'autre puisque sans autre il n'y a pas action.
L'autre n'a alors été qu'élément déclencheur. Dans une toute autre mesure nous sommes sans cesse confrontés à simulacres et duperies et, nous parvenous à faire des choix seul ce qui prouve que l'on se connait.
Aussi quelques moments de réflexion seul à seul telle la méditation suggère la remise en question donc une connaissance, une re-connaissance, avec cependant des limites liées à l'introspection.
La connaissance de soi est le savoir de notre individualité, de notre devoir de sujet libre. Dépendre d'autrui pour être en mesur d'être dans sa propore intériorité, dans sa vérité même ne serait il pas un asservissement à l'autre ?
Or, comme Sartre nous le dit, nous avons un devoir de sujet libre.
Notre connaissance de soi est innée et va avec le temps, elle est