La cucaracha
Introduction: être cultivé, c’est l’aboutissement d’un travail d’instruction, d’éducation, de socialisation et d’humanisation, un individu qui nous montre un visage de l’humain que caricature au contraire le visage de l’inculte, du barbare ou du sauvage. Et la moralité est, la réalisation de son devoir. Le devoir est tout d’abord une obligation morale valant absolument et sans condition, susceptible d'être exigé de tout être raisonnable, et ensuite le devoir, est une obligation sociale, liées à une charge, une profession ou un statut, qui n'ont qu'une valeur conditionnelle et ne peuvent prétendre à l'universalité. Si être cultiver est une devoir, alors l’homme devrait se sentir obliger de développer ses atout pour que par son effort moral il perfectionne son être. Mais la culture n’est elle pas quelque chose dans lequel on est bercé depuis notre naissance ? Et que bon nombre de personne n’ont pas reçues ? L’expression « être cultivé » ne semble pas compatible avec le principe d’exigence morale. Pour autant, nous pouvons nous poser la question qui est de savoir si l’on doit se cultiver alors, devons nous nous cultiver ? Tout d’abord, nous montrerons que la culture n’est pas un devoir mais un destin pour l’homme et dans un deuxième temps,que la culture est un devoir pour l’homme. La culture n’est pas un devoir mais une destin : la nature de l’homme est d’être un être de culture. On peut tout d’abord se demander ce que serait un homme privé de toute culture. Rousseau a analysé la question et est arrivé a la réponse que celui –ci serait « un animal stupide et borné ». en effet l’homme a des caractéristique proprement humain comme la bipédie, l’usage de la parole, de la pensée, des mains,… qui ne s'acquière qu'en présence d’un milieu social ajouté a une éducation et a un apprentissage qui ce fait dès la naissance. On peut prendre comme exemple, celui de victor l’enfant sauvage (exposé en 3eme) retrouvé en