La dépénalisation comme solution à la dette publique.
La France est le premier pays consommateur européen de Marie Juana et compte par la même occasion 200 fois plus de « marginaux » dus à la drogue par rapport à la Suède ainsi qu’un grand banditisme alimenté en grande partie par cette activité. On estime que l’activité du cannabis représenterait 40 000€ par jour à Grenoble. Un réel problème donc.
Aujourd’hui si nous faisons la sourde oreille face à une éventuelle réflexion visant à résoudre de manière alternative la consommation, c’est que l’on ne peut – en France – présenter positivement le cannabis sans tomber sous le coup de la loi qui l’interdit.
(http://fr.wikipedia.org/wiki/Législation_sur_le_cannabis)
Et pourtant ! Face aux mutations mondiales actuelles (le Danemark étudie en ce moment l’idée de plagier le modèle législatif hollandais) qui prévoient une régulation du cannabis par le commerce et non plus par la loi, la France devrait peut-être commencer à en faire de même.
Renforcer la prévention ou les forces de police ?
Comme tous écarts de la nature humaine comme la conduite en état d’ivresse ou le racisme, l’État s’acquitte de la fonction de régulateur afin de prévenir et punir ces actes. Le cannabis considéré comme nos deux exemples (en omettant toutes les subtilités juridiques du Code pénal) fait également office de campagne de prévention dans les collèges, lycées et entraine des sanctions juridiques graduées en cas de non-respect à ces règles : 3500 € d’amende et un an d’emprisonnement pour une simple consommation (simple ne doit pas être entendu comme une