La discrimination positive : « Favoritisme ou nécessité ? » La discrimination positive est-elle du favoritisme ou une nécessité ? Une nécessité La discrimination dans l'emploi : La création de quotas à l'embauche permet à cette catégorie de se créer une place sur le marché du travail. De plus, elle permet de lutter contre la théorie qui veut que les capacités dans le travail soient liées au groupe d'appartenance. Elle permet aussi d'assurer une certaine visibilité à ces groupes et peut être d'aider à changer les mentalités. La discrimination en matière fiscale : L’action fiscale est pour l'instant le moyen privilégié par l'État français. Il permet de rendre plus rentable l'emploi des catégories défavorisées. L'employeur rationnel, qui cherche à maximiser les profits est donc encouragé à embaucher ces catégories. La discrimination en matière d'éducation : La mixité est plus grande, l'apprentissage est donc plus enrichissant pour tous les élèves. L'école reste/devient un lieu d'échanges et de réflexion où les élèves apprennent le mélange qui est gommé par nos sociétés (carte scolaires, zones résidentielles pour riches...).
Ce point est cependant sujet à caution. La discrimination positive est une nécessité pour les catégories discriminées car elle les aides à s’intégrer socialement, économiquement et politiquement. Elle ouvre les portes à de grandes écoles qui pourraient être trop chère ou ne pas vouloir de personnes d’un autre milieu social, ou encore handicapées. Elle prône aussi les CV anonymes qui ont été expérimentée dans quelque entreprise en France, sans grand succès, à cause des entretiens qui suivent, et qui ne sont plus anonyme. Du favoritisme La discrimination dans l'emploi : Les non-favorisés peuvent se voir refuser des emplois parce que n'étant pas membres d'un groupe favorisé par ces mesures quoique pouvant avoir des qualifications supérieures aux individus des minorités favorisées. Sentiment de frustration : Les