Ceux qui vont sur la mer, ni vivants ni morts?
Selon Aristote, il y a trois sortes d'hommes: les vivants, les morts et ceux qui vont sur la mer. Aristote met l'accent sur les dangers que surmontent et surmonteront les marins, ceux qui vont sur la mer, en les installant dans une place particulière, ni vivants, ni morts. Je suis partisane de cette thèse pour décrire le danger considérable des marins, toutefois, la division des sortes d'hommes que pose Aristote me confuse beaucoup. Selon notre connaissance, il n'y a que deux états d'être, vivant ou mort, contradictoire absolument. Je disserterai de cette citation d'après deux points de vue. D'une part, si on les divise selon l'état d'être physique, quand un être existe au monde consciemment, il est vivant. Sinon, mort. D'autre part, si on le considère d'une manière spirituelle, le critère pour juger un tel ou tel vivant ou mort dépend des moralités qu'il laisse dans la mémoire des autres. En un mot, il n'existe que deux sortes d'hommes non seulement d'une vue physique mais spirituelle.

Personne ne peut nier les difficultés et les dangers inimaginables concernant le métier de marin. La mer pleine de changements imprévus, les tempêtes et les orages inéluctables, les accidents variés etc., ce sont toutes les raisons qui supportent le jugement d'Aristote. Bien que vivants pour le moment, les marins ne peuvent jamais assurer son sort prochain, à cause de toutes sortes d’imprévus. Par conséquence, Aristote définit les marins comme une sorte d'homme au milieu des vivants et des morts. Les souvenirs de l'intervention du Capitaine CLAEYSSEN et l'extrait de son livre défendons cette citation. Juste comme il a dit: pendant une tempête, aucun secours, il peut tout arriver. A vais dire, j'ai du respect envers les marins et leurs professions. Cependant, ce dont je me méfie n'est pas les conditions difficiles des marins, mais la manière de division qu’Aristote utilise.

Si on considère le problème du point de vue physique, on