Achevée la deuxième guerre mondiale, les tensions entre puissances sont au rouge vif, malgré la capitulation du front de l’ouest le 8 mai 1945 et du front de l’est un jour après. Avec 60 millions de personnes en moins, le monde se trouve bipolarisé : d’une part le bloc soviétique désire une planète utopique ; d’autre part, le bloc occidental veut conquérir le monde entier. Les russes ont peur après l’agression brutale des allemands, mais de l’autre côté il y a la menace américaine : il faut garantir la sécurité. Le but de Staline est de se protéger tout en conquérant l’Europe puis le reste du monde et écrasant le capitalisme. Par contre, les américains sont conscients d’être une puissance, ils veulent résoudre les problèmes du monde. L’intention de Roosevelt est celle de l’échange économique avec le reste du monde qui palliera toutes les différences idéologiques car de plus, si quelqu’un à de quoi manger, ne va pas voter ni les nazis ni les communistes. La deuxième guerre mondiale est officiellement conclue, mais ces tensions et différences idéologiques perdurent. Le terme « guerre froide » a été employé pour définir cette période de tensions et de confrontations idéologiques et politiques entre les deux superpuissances, soit les USA et l’URSS. Cette guerre devait impérativement être froide, pour éviter ainsi la destruction totale du monde. Tout ceci se résume alors par un rapport de forces entre les deux blocs, une constante nécessité de montrer à l’adversaire lequel des deux est le plus fort économiquement, militairement, socialement et idéologiquement. La Peur à cette destruction massive est présente dans tous les esprits. Le capitalisme se base sur l’individualisme et l’incitation à la consommation ; Mais le communisme le fait sur la théorie marxiste qui dit qu’en ayant tous les mêmes conditions, la vie ne poserait aucun conflit social. Ces deux doctrines complètement opposées imposant une pratique politique rudimentaire débouchent dans un conflit