la historia del corte ingles
Introduction :
- Philosophes des Lumières : Montesquieu « Quelques aumônes que l'on fait à un homme nu ds les rues ne remplissent point les obligations de l'Etat qui doit à touts les citoyens une subsistance assurée ».
I) Le renforcement de l’assistance publique
A) La lutte contre la pauvreté et son origine dans le christianisme
Selon Wilhelm Roscher ,« Le capital des pauvres, c’est l’amour des croyants »
Pendant des siècles, l’assistance aux pauvres repose sur l’Eglise, au nom du devoir de charité.
L’histoire de l’assistance publique est sans doute aussi vieille que le christianisme. C’est pourquoi l’histoire de l’assistance publique est naturellement attachée à l’église catholique et aux autres institutions religieuses. Dans la religion catholique, un pauvre était un facteur essentiel qui aidait des riches à obtenir leur salut dans l’éternité, par la charité volontaire qui était basée sur les aumônes. Le traitement de la pauvreté est laissé à la volonté individuelle des riches. Les notions essentielles du XVIIe siècle français, c’étaient les notions de devoir, d’acception des contraintes, des jougs, des servitudes de la condition humaine, ainsi que la notion d’obéissance. Le salut ou le bonheur éternel étaient le prix de la vie terrestre.
Mais ces visions de la vie commençaient à se transformer au cours du XVIIIe siècle.
« Les curés et leur entourage instituèrent des hospices régionaux, des bureaux de charité… » Dans l’Ancien régime, les hôpitaux généraux et les bureaux de charité étaient les institutions principales qui prenaient soin des pauvres. Jusqu’au XVIIIe siècle, dans toutes les villes avec 5000 habitants ou plus, il y avait un hôpital général. C’était fréquemment l’évêque qui était responsable de la construction de l’hôpital général, de l’installation des religieuses et de l’entretien des pauvres. Si l’évêque ne le considérait pas comme son affaire, c’était l’affaire du conseil municipal,