Quand on parle de métamorphose cela implique qu’il y a non seulement un état de départ mais aussi un état d’arrivé. On en conclut donc que l’élève arrivant de troisième doit avoir un comportement qui se devra de changer à la fin de son année de seconde. L’état de départ est dût au fait que l’élève n’a pas été habitué à l’autonomie, ce qui veut dire qu’il n’a pas la capacité d’agir avec indépendance. Il est donc toujours dépendant de quelque chose ou de quelqu’un. Ainsi nous évoquons ici un argument de type pédagogique. Pour commencer on doit préciser que le rôle premier du collège est de nous apprendre les bases de l’apprentissage, que ce soit en n’importe quelle matière. Il ne nous initie pas à agir par nous même vu que nous sommes plus encadrés et que nous avons moins de liberté, par exemple au collège pour sortir hors de l’établissement nous devions présenter nos carnet pour bien prouver qu’on terminé bien a cette heure ci, tandis qu’au lycée les portes sont toujours ouvertes ce qui nous laisse plus de liberté, que nous pouvons utiliser à notre guise en bien ou en mal. Le collège se passe, pour la plus part des cas, entre une tranche d’âge de treize à quinze ans environ étant donné que l’école est obligatoire jusqu’à l’âge de quinze, cela implique que le collège est une phase qu’on est bien tous obligé de passer. C’est une obligation contrairement au lycée qui est un choix de l’élève lui-même. Les élèves voient ça comme une contrainte à passer et qui est imposée par la loi et non pas comme une chance que voudraient, volontiers, certain enfants. Dans la journée de la jupe, c’est l’histoire d’un professeur de français, Sonia Bergerac, qui se trouve sans se rendre compte dans le rôle du preneur d’otage de ses propres élèves. Mouss, un élève qui est assez difficile à maîtriser dit à un moment donné « j’en ais rien à foutre de Molière, moi, plus tard je veux être footballeur». Mouss veut dire par là que l’école ne va strictement rien lui apporter, qu’il est là