La kallocaïne (susan boyle) - pour quelles raisons léo n'est-il toujours pas soulagé, malgré la confession de son épouse?
Ainsi, lorsque vint enfin le moment où Léo allait enfin pouvoir être libéré, et mettre en lumière la vérité, il se trouve dépité. En effet, sa femme ne lui donne pas les explications qu’il espérait. Il se rend compte qu’il était dans l’erreur depuis le début. Il réalise que de savoir sa femme lavée de tous soupçons ne l’aide absolument pas. Si elle avait été coupable, cela aurait confirmé le fait que son malaise était effectivement dû à sa femme et à son adultère. Mais il n’en est rien. Par les paroles qu’elle prononce, elle a fait naître en lui une honte, une insatisfaction. Sa femme et lui son finalement semblable. Lorsqu’il est face à elle, il dit être face à un miroir. Elle ne peut donc plus lui servir de prétexte.
Ce qui lui prouve que son malaise à une autre origine. Mais ne voulant toujours pas en accepter les véritables raisons, il se dit que finalement, le véritable problème venait non pas de sa femme, mais de Rissen.
Et cela l’arrange de penser cela, caf Rissen l’a toujours mis mal alaise, car face à ses propres contradictions.
De plus, sa femme, sous les effets de la kallocaïne, soulève un autre problème de fond, lorsqu’elle dit p 183 « Quel dommage qu’aucun de nous ne lui ait ressemblé […] toi de préférence » ; « Comment se fait-il que l’on cherche quelque chose qui n’existe pas ? ».
En voulant toujours éliminer Rissen, Léo pense qu’il pourra ainsi éliminer tous ses doutes par la même