La langue
1. la liberté hors du langage
2. la langue est un code
II. La langue, outil de tromperie
1. La langue politique ne fait que transformer la réalité
2. Les plus grands font de la langue leur allié pour tromper les plus faibles.
La langue à l'origine est un outil qui permet de nous exprimer et de se comprendre entre homme. Mais aujourd'hui les années passées ont fait qu'elle est devenue un outil servant à manipuler les plus faibles, et qu'à travers elle il nous est impossible d'être libre. La langue permet-elle encore aujourd'hui la liberté d'expression ? Les documents étudiés sont tout d'abord un extrait de romans d'Emile Zola, pour encourager les mineurs à poursuivre la grève. Le second document est une introduction au langage politique, écrit pas Jacques Bouveresse. Le troisième est un écrit de Roland Barthes qui dénonce l'homme comme prisonnier de la langue. Et enfin, le dernier est un dessin de Serguei représentant une toile d'araignée. Dans un premier temps nous verrons comment les hommes sont devenu des esclaves de la langue, et dans un second temps, de quelle manière la langue peut-elle être présenter comme un outil de tromperie.
La liberté est hors du langage, on le voit dans le texte d'Emile Zola où il est impossible pour les grévistes de s'exprimer librement, ils doivent se résigner car même le langage ne leur permettra pas de trouver une solution à leurs problème, car il n'y a personnes pour les entendre. Jacques Bouvresse ne fait qu'affirmer ce problème, quand il dit que les gens ne peuvent s'exprimer librement : dans la politique par exemples : ils choisissent les idées qui se rapportent le plus possible à leurs idées, ils ne font qu'accepter ces idées sans les choisir librement eux-mêmes. Pour Roland Barthes, nous ne sommes tous que des esclaves de la langue, celle-ci est fasciste car elle nous oblige à nous exprimer selon certaine modalité sans pour autant le vouloir. Car quand on s'exprime