La lecon
111 012 086 Dissertation 1
Sujet imposé 2 Travail présenté à
Monsieur Liviu Dospinecsu Dans le cadre du cours
LIT-1000-T
Méthodologie et recherche en études littéraires Département des littératures
Université Laval
Automne 2011
La Deuxième guerre mondiale a amené une vision pessimiste quant à l’Homme. C’est ce qui a inspiré le courant absurde, dont Eugene Ionesco en est un porte-parole important, voire même crucial, quand on parle de ce courant. En plus d’amener un point de vue contestataire quant à certains dogmes établis entre les Hommes, elle l’est aussi quant au mélange entre la comédie et la tragédie. Il est important de savoir que le courant se puise à travers un esthétique d’excès. Il va même jusqu’à pousser le burlesque à son extrême limite. Puis d’un moment à l’autre, un coup de pouce, un glissement imperceptible et on se retrouve en plein tragique. Il est d’autant plus étonnant que le spectateur ne se rend aucunement compte de ce changement. Ainsi, la ligne entre comédie et tragédie est à tracer dans cette œuvre.
/D’abord, il est important de définir ce qu’est le burlesque./ Cela signifie «parodie de l’épopée servant à travestir, en les embourgeoisant, des personnages et des situations héroïques.» /Preuve : Nous pouvons ainsi remarquer que Ionesco que cela est bien visible dans La leçon. En effet, l’auteur parodie le rapport d’autorité d’un professeur face son élève. On peut voir, qu’au début de la pièce, les personnages sont présenté comme étant bien éduqués et de la classe bourgeoise. /L’élève à fait ses «bachot sciences et, […] bachot en lettres.» La réponse du professeur «Oh, mais vous être très avancée, même trop pour votre âge2»/ amène l’aspect burlesque et parodiant de la situation et par conséquent les personnages. Même les situations qui sont supposées être avantageuse sont excessives selon le professeur./
/Il est donc primordial de faire un lien entre cette réplique