La liberté peut-elle s'exprimer sans violence ?
Introduction :
Une question qui nous force à chercher l’existence d’une liberté ou la violence n’est pas nécessaire, mais néanmoins nous donne un aspect rhétorique sur le sujet. D’abord la liberté, peut-être de faire, celle qui a besoin d’une autorisation ou d’une capacité à faire ; on a aussi la liberté de vouloir qui elle fait référence aux désirs et à la faculté de choisir et enfin la liberté de savoir. Et maintenant, la violence, du latin violentia qui signifie « abus de force ». Soit physique, moral ou psychologique, la violence a elle aussi plusieurs aspects.
L’obtention d’une liberté doit-elle mener à l’utilisation de violence ?
La violence, négative et la liberté, positive, un contraste qui ne va pas de paire mais qui pourtant ne vont pas l’un sans l’autre dans le monde d’aujourd’hui. Libre de chanter, libre de danser, libre de sauter, libre de s’amuser, libre d’aimer …On se demanderait ou est la violence dans toutes ces libertés plus simples et naturels les unes que les autres, toutefois ces libertés agissent sur l’environnement et les gens qui nous entoure.
D’après Hegel, « la liberté ne se manifeste vraiment que par la violence. La liberté c’est la négativité elle ne peut s’affirmer et se construire sans violence ». Depuis des siècles les combats pour la liberté non jamais été pacifiste. Que ce soit pour la liberté d’expression, les droits de l’homme, l’abolition de l’esclavage etc... Dans les droits de l’homme un article dit : « La liberté des uns s’arrêtent la où commence celle des autres ».
Un autre exemple, qui ne met pas en cause la société, un jeune enfant de dix ans voit à la télé son héros préféré et décide de faire les mêmes cascades que celui-ci, libre a lui d’essayer mais les contraintes naturels s’y oppose. Dans cet exemple nous sommes face à une violence psychologique car l’enfant était persuadé d’y arriver mais devra renoncer. Mais encore le gymnaste souhaitant réaliser une