La littérature
Jean Jacques met en lumière deux types de mal ,qui peut arriver dans la vie: un mal avec intention et un mal sans intention et qui se distingue dans leurs effets.
Rousseau explique que l'intention malveillante blesse d'avantage que la douleur materielle,il peut nous attrister et navrer nos coeur.
Par contre.un mal qui est sans dessin est tolérable et acceptable ,il dit (une tuile qui tombe d'un toit peut nous blesser davantage mais ne nous navre pas tant qu'une pièrre par une main malveillante).
Donc ,l'ame se trouve dans un etat de vulnérabilité vis à vis l'intention des hommes.
Jean Starobinski évoque dans l'oeil vivant que Rousseau répète trop souvent qu'il n'a jamis fait du mal par dessein.
Rousseau nous invite aussi à accepter le mal tel qu'il est sans chercher à revendiquer et à se tourmenter en l'imputant aux ennemis ,il dit (c'est ainsi qu'un joueur dépitè par ses pertes se met en fureur sans savoir contre qui,il imagine un sort qui s'acharne à dessein sur lui pour le tourmenter et trouvant un aliment à sa colère il s'anime et s'enflamme contre qu'il s'est crée)
Le cas du joueur présente un contexte ou aucune intention n'est présente et révélatrice ,mais il s'agit ici d'une intention crée et fausse.
Autrement dit,Rousseau est devenu le solitaire en soi.particulièrement seul,l'homme qui est capable de se soumettre volontairement à la nécessité sensorielle peut participer de ce type d'ètre ,qui est le promeneur solitaire car lui seul peut jouir de la