Problématique : M. Rogers veut que La Maison du Peintre croît économiquement mais son entreprise n’a pas la structure organisationnelle favorable pour le faire.
Analyse des faits :
- La Maison du Peintre comprend 7 succursales, 45 employés et 4000 clients et des revenus annuels de 11M$;
- Il est le plus important détaillant de peinture indépendant au Québec;
- L’entreprise est fortement concurrentielle avec les entreprises géantes au niveau de leur prix, leur qualité et leur service à la clientèle;
- Les employés doivent suivre une série de 15 sessions de formation à l’École de Métiers de la construction, par conséquent, ils offrent un niveau élevé d’expertise;
- L’entreprise est équipé pour vendre en grande quantité;
- L’entreprise a un partenariat exclusif avec le manufacturier Sico qui représente 70% de son chiffre d’affaire;
- Elle entend continuer à croître par l’acquisition des petits magasins qui n’ont pas de relève;
- Le fondateur n’est pas pressé de faire expansion et préfère conserver le contrôle de l’entreprise dans la famille de M. Roger.
Options :
1) L’entreprise pourrait garder sa structure actuelle, soit une structure plutôt mécanique et centralisé. Cette option permettrait à M.Rogers de garder le contrôle de l’entreprise dans la famille et de maintenir une coordination simple. La coordination est simple car les règles, les tâches et les marches à suivre sont spécifiques. Cependant cette option n’encourage pas la concurrence et l’innovation ce qui rend la situation économique de l’entreprise stagnante.

2) La seconde option serait que M. Rogers sort de sa zone de confort et décentralise le pouvoir de son entreprise. C’étant dit, il pourrait adopter une structure organique. Avec cette option, l’entreprise sera en mesure de s’adapter rapidement aux obstacles qui viendront avec les plans d’acquisitions et d’accroissement économiques puisque les cadres participent et interagissent de façon active. La décentralisation du pouvoir va