La mal mesure de l'homme gould, stephen jay, editions ramsay, paris 1983
3677 mots
15 pages
Stephen Jay Gould est né en 1941à New York et meurt en 2002 à Manhattan. Un brillant scientifique et vulgarisateur des sciences de la vie, enseignant à l'université de Harvard. Il s'exprime contre l'utilisation abusive de la science dans les champs de la société, de la morale et de la religion. Ses travaux même si ne convainquent toujours le monde scientifique suscitent une réaction et redéfinitions des idées. Avec son collègue Edreige il a développé la théorie des équilibres ponctués qui implique des cycles de changement rapides et importants, entrecoupés de longues phases stagnantes. Ceci explique qu'on retrouve très peu de formes de transition dans les fossiles qui signifie selon les auteurs que les transitions évolutives sont rapides, laissant peu de temps à leurs porteurs de se fossiliser. Actuellement cette théorie est le fondement de la paléontologie moderne. En 1965 il publie plusieurs essais pour le journal « Américan Journal of Science » concernant ses travaux empiriques et sa critique de la théorie d'évolution. On le considère comme un des plus grands spécialistes mondiaux de la théorie Darwinienne. En 1974 il commence a publier ses articles dans le célèbre Journal Natural History et a su faire populariser les sujets d'histoire naturelles et historiques. Connu avec ses prises de position surprenant il affirmait que l'apparition de l'homme est du au hasard de l'histoire imprévisible de la vie. Bibliographie: Plus de 20 ouvrages scientifiques grand public: Des plus connus “La vie est belle”, “Le pouce du panda”, au plus récent “Les pierres truquées de Marrakech” Le thème principale abordé dans l'ouvrage par l'auteur concerne le concept de l'intelligence, vue sous différents angles par le monde scientifique au début de XIX siècle. Stephen Gould nous propose une analyse critique des théories imposées et s'attaque à leurs faiblesses évidentes.
Premier chapitre
Introduction
Au XIX siècle les scientifiques,les dirigeants ni les citoyens ne