La pension
Dès le début du texte, l'odeur de la première pièce est décrit: «Elle sent le renfermé, le moisi, le rance; elle donne froid, elle est humide au nez, elle pénètre les vêtements; elle a le goût d'une salle où l'on a dîné; elle pie le service, l'office, l'hospice» (l.3 et 4). C'est une gradation qui permet d'en apprendre plus sur elle au fur et à mesure. Le pronom «elle» qui se réfère à l'odeur est répété 5 fois, ce qui permet d'insister et de mettre en évidence chaque détails. Nous pouvons interpréter l'allitération «le service, l'office, l'hospice» (l.4) comme la marque du mélange de différentes odeurs «nauséabondes» (l.5) qui ferait allusion à l'odeur du chaos. Malgré tout, cette idée est mit en antithèse plus tard car il est dit plus tard que tout cela n'est rien en comparaison à la salle à manger. Le champ