La police sous napoléon
Incontestablement, le régime napoléonien était un régime policier, si policier même qu'il entraîna « une guerre des polices » Fouché dû vite compter en effet avec son subordonné, le préfet de police Dubois, qui envisageait de le supplanter et essaie de le prendre en défaut dans diverses conspirations. Intervinrent également Moncey, qui dirigeait la gendarmerie, Duroc, en charge de la sécurité des Tuileries, Savary qui, avant de remplacer Fouché à la tête du ministère de la Police, commandait la gendarmerie d'élite, chargée de la protection de Napoléon... L'Empereur était également renseigné par des informateurs comme Mme de Genlis ou Fiévée. C'est sur ces rivalités qu'il comptait pour limiter le pouvoir de son trop puissant