Partie n°3 : La politique extérieure (1871-1914).

Chapitre 10 : Les relations extérieures (1871-1914).
Intro :
* Pertes démographiques de la guerre s’élevaient à 140 000 morts militaires, 400 mille décès civils.
+ Perte Alsace-Lorraine, se font ressentir fin du siècle.
* France a cédé ac Alsace-Lorraine des régions riches = Axe du Rhin + 1,5 million d’habitants.
* Guerre + commune = 9 milliards de francs.
=> France perd sa place en Europe + naissance empire allemand la rend vulnérable.

I] Isolement français (1871-1887).
France a achevé son indemnité le 5 Sept 1873 => Allemagne quitte le territoire.
A) Les premières alertes (1871-1882).
* Reconstitution rapide de la France sur le plan éco & milli.
* Crainte de Bismarck : chute de Thiers + patriotisme. Il craint un retour à la monarchie de la France (qui trouverait alliés en Europe) ou république gambettiste portée à la revanche.
=> Il répondit par une « entente ds trois empereurs » conclue avec Alexandre et François-Joseph pour permettre le statu quo en Europe.
* Période de l’Ordre moral qui traverse la France (1873-1875) coïncide ac lutte contre catholicisme (Kulturkampf) en Allemagne ; Bismarck est inquiet des interventions des évêques français en faveur des catholiques allemands même si De Broglie le rassure.
Crainte de Bismarck justifiée : Mars 75, nouvelle loi militaire en France (renforce armée + revanche).
* Avril 75 : le Post, journal officieux de l’Etat-major allemand envisageait guerre préventive. Pr allemand, revanche = « pensée intime de la France », donc pas attendre.
* Attention mondiale se tourne vers Orient, où se développait crise balkanique (mais France n’eut aucune part alors qu’elle y jouait autrefois les premiers rôles).
* Congrès de Berlin (Juin-Juillet 78) Ang & All encouragent France à se tourner vers colonies (qui oublie le Rhin.)
Mais forme jacobine du nationalisme n’oubliait pas idée de revanche.
La revanche passait par régénération