La politique industrielle en europe
D'une part, la politique industrielle nationale est remise en question par l'Europe dans la mesure où les Etats ne peuvent plus intervenir du fait de la politique de la concurrence pour orienter l'activité éco des pays. Or, en France on avait traditionnellement une politique industrielle qu'on traduit de Volontariste et Jacobine. Une politique sectorielle qui vise à dvper un secteur particulier.
Il est vrai que pour certains cette pol indus est acceptée par l'Europe. Celle-ci se justifie si elle vise à pallier aux insuffisance du marché, si elle ne fausse pas la concurrence sur le plan européen. Par contre, une pol qui vise à subventionner est interdite.
La politique des filières qui a été mise en place 1981, ces politiques ne sont plus pstes ajd => dvper et soutenir la nouvelle techno, les autres types de pol ne seront pas acceptés.
L'Europe elle même pourrait décider d'une politique industrielle à l'échelle européenne.
Reste l'Euratom, qui vise à créer une coopération entre les niveaux européen + Galiléo ;
Il n'y a pas eu réellement de pol indus qui a été mise en place sur le plan européen. Seule la R et D et le soutien à la diffusion et au développement des nouvelles technologies est accepté.
Eureka : programme de défense stratégique relatif qui vise à répondre au IDS américain, le programme BRITE , ESPRIT pour le dvpt de techno, mais le buget euro consacré ne représente que 3,9% du total du budget européen , ce qui représente 17,7 milliards d'euros. Par ailleurs, la R et D dans les pays européens sont en baisse depuis les année 1990, car en 2006 elles ne représentaient que ... pour les 15 pays les plus dvpés en Europe.
Les EU recherchent 2,1%, et le Japon de 3%.
Dans ce domaine là encore il y a des insuffisances.
Au sommet de Lisbonne, l'Europe affiche l'ambition de devenir une éco de la connaissance...
1er frein : il n'existe pas de fait, un brevet européen la mobilité des chercheurs reste