La portrait ovale- travail
Le décor planté en début de texte est sinistre: le narrateur, blessé, arrive dans un château, la nuit, au milieu des montagnes. Cette ambiance nous prépare, de manière subtile, à une suite de suite de type surnaturelle ou fantastique. Le narrateur se trouve apparemment dans un endroit isolé, au milieu de nul part. Il emploie également le «je», ce qui fait qu'on peut s'identifier à lui, et on a l'impression de découvrir en même temps que lui le portrait ovale.
Entre l'endroit où nous sommes (on ne sait pas où on est, il fait nuit, on est dans un château), et l'implication dans le texte (on suit le narrateur presque pas à pas, jusqu'à se substituer à lui), tout y est pour une atmosphère surréaliste, fantastique.
Le récit enchâssé fait plus l'objet du fantastique que le récit cadre. Quand le peintre peint sa femme et quand à chaque coup de pinceau il retire les couleurs de la vie de sa femme: c'est un des aspects fantastiques du récit enchâssé car à chaque coup de pinceau on ne retire pas la vie d'une personne. Le narrateur montre aussi que vers la fin du récit enchâssé, la femme se vide de ses énergies car elle reste assise pendant des jours et des jours et des heures durant qui n'en fissent pas (pour elle). A la fin de ce récit enchâssé, quand le peintre découvre la vie de sa femme dans le tableau la représentant et qu'il jette un œil derrière son tableau pour regarder sa femme et qu'il découvre qu'elle est morte, le narrateur veut nous montrer un autres des aspects