La prise en compte du comportement du e-consommateur
609 mots
3 pages
La prise en compte du comportement du consommateurA l’échelle mondiale, Internet est le média le plus influant, soit quasiment deux fois plus que la télévision et la presse écrite .En 2010, 68,9% des français utilisent Internet, c’est à dire 44, 6 millions de personnes. Depuis quelques années, le monde est plongé dans un climat de crise, entraînant la baisse du pouvoir d’achat des consommateurs. La révolution du média Internet s’est révélée être une alternative au commerce classique leur permettant ainsi de devenir des consommateurs plus rationnels. Cela explique qu’en 2010, le e-commerce français ait atteint un chiffre d’affaires de 30 milliards d’euros. Les entreprises se déplacent donc de plus en plus dans le marché du e-commerce. Ainsi on peut se demander comment les entreprises prennent-elles en compte le comportement du consommateur par rapport à l’influence d’internet ? Dans un premier temps j’analyserais les actions des entreprises dans le e-commerce et dans un deuxième temps j’étudierais le comportement du consommateur face à ce nouveau média.
I. Les actions des entreprises dans le e-commerce
Les entreprises investissent afin d’augmenter positivement leur e-réputation correspondant à leur image. Ces investissements réalisés, appelés cybermarketing, permettent aussi et surtout d’augmenter les parts de marché. Ainsi, elles facilitent le processus décisionnel des consommateurs, tentent de réduire les freins à l’achat tels que la sécurité, la perte de temps, le manque de visibilité de l’offre ou des frais de ports trop élevés. Les entreprises se rapprochent également des internautes par le biais de microblogs afin de gagner leur confiance et de mieux répondre à leurs besoins. Donc, outre l’activité principale de vente des entreprises, celles-ci développent le mix-marketing correspondant à la construction, la communication et la distribution de l’offre sur Internet. Si ces actions sont efficaces, l’internaute se transforme en consommateur. II.