La racisme dans le passé
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LE RACISMEFernand Schwarz
Racisme : naît de la difficulté que chacun éprouve à accepter l’autre, refusant volontairement ou involontairement, l’ouverture à l’autre.
L’esprit d’intolérance religieuse et la susceptibilité d’intégrer les étranger commencent depuis l’Antiquité, le Moyen Age et ils se développent dans le temps et dans l’espace. C'est-à-dire la ségrégation humaine n’a pas commencé aujourd’hui. Mais, elle n’a pas le même sens en Antiquité que celui qu’on connait. Par exemple, dans la Rome antique, il y a deux termes pour distinguer les étrangers et la population locale, «barbares» et «civilisés». Et, en Égypte, il y avait plusieurs ethnies mais ils vivaient en harmonie. Ils ne jugeaient les valeurs des autres.
Au Moyen Age, en Europe, c’est avec la biologie, l’unification de foi (croyance) et de système politique que le racisme s’est répandu envers les populations non européennes. En fait, l’Europe s’est supériorisée et ainsi, appelant les autres des sauvages « des non civilisés».
Jorge Livraga
Évolué dans le temps, l’homme cumule des expériences positives et négatives. Donc, ce n’est pas étonnant que l’homme soit raciste. Au XVe, on définit la race étant un ensemble de traits biologiques et psychologiques qui relient ascendant et descendants dans une même lignée. Au XVIIe, la doctrine du racisme apparaît avec la colonisation. Pendant le même siècle, la traite des noirs se réclame de ces arguments biologiques. Cette supériorité de l’homme blanc déclenche ainsi des génocides chez les populations inférieures et des déportations des populations sauvages. Ceci crée une haine entre les deux parties, les civilisés et les sauvages. Par exemple, l’apartheid en Afrique du sud, la haine entre les noirs américains et les blancs… Aujourd’hui, le racisme est une expression de l’ignorance et du fanatisme.
Pour terminer, le blanc et le noir sont aussi bons l’un que l’autre selon les discours religieux. Dieu ne regarde pas la race de l’homme mais