La religieuse de diderot
1) Syndromes lymphoprolifératifs chroniques B
Le phénotypage complet de la prolifération permet une classification des syndromes lymphoprolifératifs chroniques B séparant les leucémies lymphoïdes chroniques (LLC) typiques des autres syndromes lymphoprolifératifs chroniques B selon un score appelé SCORE de MATUTES.
Certains marqueurs phénotypiques ont une valeur pronostique, en particulier dans la LLC.
2) Syndrome lymphoprolifératifs chroniques T
Pour les lymphoproliférations T, le diagnostic phénotypique est plus difficile.
3) Suivi de la maladie résiduelle
Possible dès que la population pathologique est phénotypiquement bien identifiable des cellules normales (ex : LLC)
Deux styles de céramique se succédèrent :
De 650 à 550 av. J.-C., le style à figures noires caractérisa l’art attique archaïque. Cette technique consiste à réserver sur fond d’argile rouge les silhouettes et le décor, qui grâce à la cuisson, vont se détacher en noir. Les plis des vêtements sont soulignés d’incisions et de traits blancs. Les potiers et les peintres de cette période commencèrent à signer leurs oeuvres (Amasis, Exékias par exemple). Ils privilégièrent la représentation humaine à l’intérieur de scènes traitées comme des tableaux encadrés de motifs décoratifs
(arabesques, palmettes). Il existe une parenté plastique entre les figures noires et la sculpture de cette période notamment par le hiératisme des personnages. Un certain nombre de conventions se remarque : les personnages sont représentés de profil avec un œil dessiné de face ; les attitudes sont figées.
Les thèmes les plus souvent choisis sont tirés de la mythologie, dieux et héros grecs
(Dionysos, Héraclès, etc …).
A partir de 550 av. J.-C., les Athéniens inventèrent la technique de la figure rouge. Au lieu de peindre les motifs en noir sur le fond naturel de l’argile, les figures et motifs sont réservés et restent rouges sur le