La religion lors de la colonisation
A) Evangélisation
Ainsi pour justifier l’émergence du colonialisme, qui fut justifié par l’humanisme, le racisme et la religion monothéistes : le christianisme, le Judaïsme et l’islam. Pourtant la religion n’apparait que comme deuxième valeur de la colonisation. Dans sa lettre annonçant la découverte de l’Amérique, écrite le 14 février 1493, Christophe Colomb évoque déjà cette question d’évangélisation ici, des Indios. L’adhésion au christianisme fixait les limites de Xénophobie, et la théorie de l’ancêtre commun fixait entre autre les limites du racisme. Ainsi l’enseignement chrétien est fondé sur des erreurs. Pourtant l’idée que tous les hommes son issus d’un même père et d’une même mère, Adam et Ève, est fausse. D’après les dire de l’époque les races humaines n’ont rien à voir entre elles. Elles ont des origines différentes. B) La Bible contredit le discours colonial Ainsi, dans le cantique des cantiques on y note le fameux « je suis noire, mais je suis belle, fille de Jérusalem ». Pourtant il est dit que la race noire, descend de cham, et qu’il « peupla l’Afrique, où elle végète encore ». C’est dans ce contexte que le colonisateur représente l’occident et les textes sacrés auxquels tous deux sont attachés, ancien et nouveau testament, au nom desquels sur un sol étranger l’Europe s’entre déchire déjà. Pour maintenir un contrôle sur ces colonies, exemple, le cardinal Lavigerie crée l’ordre missionnaire des pères blancs, qui à pour but l’évangélisation et la lutte contre l’esclavage, possède son importance. C) Religion outil au service de la soumission des noirs Léopold II, roi de Belgique et politicien mégalomane règne durant la révolution industrielle, la Belgique est alors en quête de matières premières notamment l’ivoire et surtout le caoutchouc. L’exploitation du Congo par les belges commence en 1893. Ainsi il envoya des missionnaires au Congo et dans un discours, il leur déclara qu’il fallait interpréter la