La stratification sociale et la classification de la population
Introduction :
Les sociétés occidentales, contemporaines sont caractérisées par une égalité de droit devant la loi, mais pour autant les sociétés reste différenciées, structurées par des distinctions (Privilégié – Démuni ; France d’en haut – France d’en bas). L’objectif est d’étudier certaines analyses de la stratification sociale (Elaborée courant 19iem et 20iem siècle). Ces analyses rendent compte d’une certaine organisation de la société, mais est-ce que ce qui a été mis en place au paravent est encore valable maintenant ? La nomenclature des Profession et Catégorie Socioprofessionnel propose une classification des français, c’est un instrument riche mais qui a des limites. Il existe différents groupes sociaux. Chaque sociétés se compose d’une multitude de ces groupes avec des caractéristiques différentes et que sont plus ou moins inégaux. Il existe différents critère pour distinguer ces groupes sociaux (Critères biologiques, socio-économique, profession exercées, revenu, instruction, opinion politique, pouvoir détenu..). Des caractéristiques communes ne suffisent pas à fonder un groupe, par contre de ces point communs peuvent résulter des intérêts communs qui peuvent conduire à une création de groupe social. Chaque société construit des distinctions entre les individus. Ces différences contribue à la construction d’une hiérarchie entre les groupes sociaux selon qu’ils disposent ou non des critères les plus valorisé par la société.
Deux modèles de stratification social : Les castres et les ordres :
La mobilité social est impossible dans les castres et très difficile dans les ordres. Le plus important dans la vie c’est accéder à la position sociale qui nous revient grâce au mérite et non aux privilèges. Castres en Inde : Système héréditaire, on « est » mais on ne « devient » pas. Les groupes y sont délimités et hiérarchisé. A chaque caste est attribué des