La trilogie
La grande maison
Le roman raconte la vie d'une famille nombreuse et très pauvre, Le héros Omar, garçon d'une dizaine d'années, ne mange pas tous les jours à sa faim, Aïni, la mère se tue au travail pour faire vivre sa famille, mais l'argent qu'elle gagne ne suffit même pas à acheter du pain. À tous ces malheurs se rajoute la grand-mère Mama (paralytique) abandonnée par ses enfants chez sa fille Aïni. C'est une autre bouche à nourrir. C’est pour cette raison que Aïni est désemparée dans toute l’histoire. Le roman se referme sur le sourire de Omar, qui symbolise l’espoir d’un jour nouveau.
L’incendie
L’incendie ravage les montagnes paisibles de la région de Tlemcen, il détruit les gourbis agricoles et inflige le cœur des hommes. En vacances dans sa famille, le petit Omar, tourmenté, assiste à cet embrasement. Les fellahs s’insurgent, se révoltent et décrètent la grève pour protester et dénoncer leurs conditions misérables. Au point de vue des colons, les fellahs sont des « incendiaires » sans exception. Les arrestations commencent…
Le métier à tisser
Affamé et malmené, le jeune Omar fait l’apprentissage de la vie dans un atelier de tisserands en Algérie. En l’absence d’une liberté absolue ainsi que la lumière du soleil, il écoute les interminables discussions de ses collègues, dans l’espoir d’un signe de jour nouveau. Comme les siens, Omar souffre de sa condition misérable, mais peut-on vraiment lui empêcher d’espérer ?