La téléphonie mobile
Le Secrétaire général de la Francophonie est le plus haut responsable de l’OIF. Abdou Diouf, ex président du Sénégal a été élu à ce poste par le Sommet de la Francophonie en 2002 à Beyrouth (Liban), et réélu en 2006 par le Sommet de Bucarest (Roumanie).
Le Secrétaire général nomme un administrateur chargé d’exécuter et de gérer la coopération. C’est Clément Duhaime occupe cette fonction depuis 2006.
L’organigramme de L’OIF
L’OIF est placée sous l’autorité de 3 instances politiques : Le Sommet, l’instance suprême de la Francophonie qui se réunit tous les deux ans, la Conférence ministérielle de la Francophonie (CMF) et le Conseil permanent de la Francophonie (CPF).
L’OIF compte une délégation et plusieurs directions de programme ou d’appui partout dans le monde
L’OIF agit notamment avec l’Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF), les quatre opérateurs spécialisés des Sommets que sont l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF), TV5, l’Association internationale des maires francophones (AIMF), l’Université Senghor d’Alexandrie ; ainsi qu’avec les deux Conférences ministérielles permanentes : la Conférence des ministres de l’Education nationale (Confémen) et la Conférence des ministres de la Jeunesse et des Sports (Conféjes).
Elle s’appuie, toujours davantage, sur les organisations de la société civile. Le Secrétaire général de la Francophonie convoque tous les deux ans une Conférence francophone des organisations internationales non gouvernementales (OING).
Par ailleurs l’OIF a conclu des accords de coopération avec de nombreuses organisations internationales ou régionales (Nations unies, Union européenne, Union africaine, etc.).
Les objectifs du OIF
Les objectifs de la Francophonie sont consignés dans sa Charte adoptée en 1997 au Sommet des chefs d’Etat et de gouvernement à Hanoi (Vietnam) et révisée par la Conférence ministérielle en 2005 à Antananarivo (Madagascar)
* L’instauration et le