La veuve jules jouy commentaire composé
La veuve, poésie mais aussi chanson (reprise de Damia devenu un classique mais aussi dans un tout autre style une reprise par Karbala 413), ce gout qu’avait Jouy pour la guillotine se ressent par les termes et métaphores utilisées. Sûrement ce texte poétique est-il une lutte contre la crise boulangiste. La guillotine plus situable dans le bon alors que c’est avant tout une torture qui a amené bien des débats.
La problématique consistera à se demander comment le poète arrive à détourner le laid en beau.
La première partie s’attardera sur le mélange que Jouy utilise dans tout le poème entre le beau et le laid voir tandis que la partie suivante traitera du goût et des impressions que transmet le poète au lecteur à propos de la guillotine.
Le poète compare très souvent les éléments de la mort des prisonniers avec un mariage, rien que le fait d’appeler la guillotine par la personnification « la veuve » montre bien qu’il y a un frappant rapport avec le mariage. Mais il compare par exemple « le fourgon noir » qui est l’automobile qui véhicule les prisonniers à un « carrosse » qui est traditionnellement, durant son époque, le moyen de transport amenant les mariés à l’église. Jouy fait référence à la présence de témoins et d’un prêtre, cela se prête parfaitement au thème du mariage en tout cas plus qu’à celui de la peine de mort. « La veuve, à lui s’offre, coquette » peut être interprété comme une femme le jour de son mariage qui