La vie au front et a l'arriere paragraphe argumenté.
DUDOUET 07/10/11
Lison 3°D
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La 1ère Guerre Mondiale est une guerre totale puisque le front combat mais l’arrière contribue à cette guerre ; Toutes les personnes sont alors mobilisées.
Au front, là où les poilus( les soldats qui étaient privés d’hygiène et qui se nourrissaient des bouts de pain rongés par les rats et moisis à cause de l’eau) combattaient dans ou hors des tranchées.
Le vacarme des obus les empêchaient de dormir plus de quelques heures. Ils avaient peur de l’inconnu, de sortir, de se battre,… Ils étaient plusieurs centaines qui couraient à travers les obstacles comme les barbelés, les trous des obus, les cadavres. Ils frappaient n’importe où. Il y avait du sang partout, des cadavres éparpillés et beaucoup d’incendies au loin.
Même si ils étaient nombreux, leur solitude les affaiblissait. On leurs censurait leurs courriers. Les mutineries étaient très épuisées. Et de nouvelles armes sont arrivées comme les chars Renault. La brutalisation des soldats confrontés a la violence quotidienne.
A l’arrière (ce sont ceux qui ne sont pas au front mais qui contribuent aux ressources de la guerre), les femmes remplacent les hommes au travail : les munitionnettes.
Les prix augmentent fortement (inflation) par exemple de 1917 à 1918, le prix du pain augmente de 0,50 à 2, 5O francs. Les salaires augmentent eux aussi mais faiblement : 137 à 173 francs. Ce qui entraine une pauvreté à Paris.
Les femmes remplacent toutes les démarches ainsi que les vieillards et les prisonniers.
Les états interviennent dans