La ville.

Résumé

Le citadin s’éloigne des relations concrètes qui qualifient la vie dans les villages car la ville apporte une indépendance, contrairement aux relations contraignantes des villageois doués de curiosité. La ville amène une autonomie favorable au développement de chacun, tant elle apporte la diversité nécessaire dans les échanges. Les contacts nés des marchés d’antan soulèvent la nostalgie remplacée par les échanges ponctuels qui forment l’esprit citadin. La vie urbaine est un outil d’analyse; l’insécurité qui guette soulève autant de réflexions personnelles qui confrontent l’individu aux mouvements et à l’ évolution urbaine. Les situations que nous incombent la ville incitent à multiplier les rôles de chacun pour favoriser notre adaptation et notre intégrité. Les composants de la ville sont à l’origine du sentiment d’appartenance commune où la règle de la solidarité entre dans les mœurs et dans l’harmonie citadine. L’intérêt de la ville pénètre ceux dont les idées se calquent sur un état d’esprit où l’urbanisme est générateur de l’implication sociale. 173 mots.

Expliquez les expressions suivantes:

« L’enrichissement naît de cette insécurité », expliquez le paradoxe.

Retrouvez dans le texte les éléments qui qualifient
« une mentalité urbaine » et expliquez-les.

L’enrichissement est un facteur de ressource et de valorisation, processus qui permet toute forme d’évolution.
L’insécurité révèle la fragilité d’un lieu, d’un Etat qui frôle la décadence, elle soulève des situations dévalorisantes qui remettent en cause la fiabilité d’un endroit.
Ces deux termes marquent un paradoxe dans lequel les faiblesses de la ville sont des éléments déclencheurs d’une perpétuelle adaptation; elles favorisent ainsi la transformation et la progression