. La vérité se doit elle d’être relative, inexistante, intolérante?
Ce texte de Freud est un extrait des nouvelles conférences sur la psychanalyse. Le thème du texte abordé par Freud est le rapport des sciences, la philosophie, et la religion avec la vérité. Freud y défend la thèse suivante : la vérité ne doit pas être tolérante. Intolérante signifie qui n'admet pas des croyances ou des comportements différents des siens, qui manquent d’indulgence, de compréhension. La vérité est la qualité de ce qui est vrai. C'est la conformité de l'idée avec son objet, conformité de ce que l'on dit ou pense avec ce qui est réel. C'est également un terme à forte connotation juridique, entendu d'un point de vue judiciaire au sens de « ce qui est vrai », à savoir ce dont on peut rapporter la preuve. La diversité des interprétations du mot a engendré par le passé et jusqu'à maintenant bien des controverses. Les réflexions de penseurs et de philosophes au cours des sont diverses et différentes. Pourtant, certains Philosophes comme Sigmund Freud définies se terme en s'appuyant sur l'idée que la science est le seul moyen qui permet d'aboutir à la vérité, et que même la religion et la philosophie sont soutenue par les sciences. La question posée par ce texte est celle de la valeur de la vérité. La vérité se doit elle d’être relative, inexistante, intolérante? Pour répondre a cette question, nous nous intéressons dans un premier plan à présenter les sphères de la science, la philosophie et la religion, pour aboutir ensuite a démontrer le faite que la vérité ne doit pas être tolérante.
Freud commence son texte en s'opposant à la thèse que la science est une branche parmi d’autres de l’activité intellectuelle humaine. Cette activité intellectuelle est la possibilité qu’a l’homme d’avoir une activité de vie intérieure. La science nous pousse à réfléchir. Mais là où la thèse est une thèse "inadmissible" c’est de considérer que la religion ou la philosophie sont deux domaines où la science n’aurait rien à voir et où elles seraient