La vérité
La Vérité, c'est ce que recherche le philosophe. Cependant tous ne disent pas le même chose.
I-Qu'est ce que la Vérité?
Déf. classique: Pensée ou parole en adéquation avec la réalité. On distingue donc la Vérité (pensée) de la réalité (Res= les choses). Par conséquent il n'est question de Vérité ou de fausseté que dans le discours ou la pensée. Les choses ne sont pas vraies ou fausses, elles existent ou non.
On distingue aussi le vrai de l'apparent: un discours vrai ne dit pas ce qui aparraît mais ce qui est. Négligons donc les apparences. mais il arrive que les apparences trahissent la vérité. Ici elle dénoncent alors qu'elles cherchent à dissimuler. Le problème réside dans l'interprétation (souvent subjective) de ces apparences.
Comment alors apparaît ce qui est? Descartes (voir le développement de la théorie un peu plus loin): L'idée vraie se distingue des autres en ce qu'elle est évidente. --> La Vérité apparait dans les idées claire et distinctes que forment notre esprit et l'évidence est le signe de la Vérité. Objectons à Descartes qu'il confond Vérité et certitude (il nous arrive d'avoir des certitude qui s'avèrent erronées)
A cela répond Nietzsche: Nos convictions sont des ennemis de la Vérité. La certitude semble alors reservée à celui qui oublie de rélféchir (réfléchir= plusieurs rep. possibles= pas de certitudes).
Faut-il préférer l'inférence logique (ou déduction)? En effet les preuves établissent des vérités, elles peuvent être surpassées par la lumière d'autres données. Elles ne son donc que les marques d'une vérité provisoire.
Faut-il se tourner du côté du vraisemblable (ce qui concorde avec le sens commun)? Mais le sens commun est ce qui arrange l'homme du commun.
A cela, Sartre répondit: Je fus amener à penser contre moi-même, au point de mesurer la Vérité d'une idée au déplaisir qu'elle me causait. La Vérité résiderait donc dans ce qui me heurte et va à l'encontre de ce que je pense spontanément.
II-Comment