la vérité
L'humanité est constamment aux prises avec deux processus contradictoires dont l'un tend à instaurer l'unification, tandis que l'autre vise à maintenir ou à rétablir la diversification. Ces contradictions ont toujours été des éléments majeur de l'histoire qui ont menaient les philosophes à se questionner sur ce sujet là : La vérité est-elle tyrannique?
Cette question prétend une longue réflexion entre deux termes opposé par la signification: la vérité et la tyrannie. La question de la vérité, qui clôt le groupement « la raison et le réel » , est une sorte de point de convergence de toutes les interrogations philosophiques. Pour le sens commun, une proposition ou une théorie est « vraie » lorsqu’elle est conformé au réel et qu’elle peut être attestée par l’observation ou par l’expérimentation. Cette approche est aussi celle de la philosophie, mais jusqu’à un certain point seulement. Les philosophes nous ont appris, depuis Socrate, à nous méfier d’une définition trop étroite ou trop naïve de la vérité. La vérité est un fait de langage et le langage est un système de conventions. Des conventions sont par définition contestables. La vérité est considérée comme une opinion qui elle même est une croyance dont l'action est de croire , de se fier à quelque chose et qui se donne comme une authenticité . Et l’on observe en effet que les hommes ont beaucoup de mal à s’entendre sur la définition et sur les critères de la vérité. D'un autre cote , lorsqu'on se penche sur le sens du deuxième terme , c'est-à-dire sur la présuppositions de la notion tyrannique , on remarque que cette expression n'admet pas de contradiction et voire même de litige. Cette approche se justifie par sa signification elle même puisqu'elle nous mets sur le point d’expérimenté sur le fait que la tyrannie serai l'opinion d'une certaine chose qui