La critique de la démocratie à aristote
Ce qui est nouveau est la notion de liberté qui n’est plus associer à la participation à la cité, qui est devenu le droit de développer ses activités, de commercer, et… et cette liberté aboutit à de inégalités économique et sociales mais elles sont considérés par les penseurs modernes comme quelque chose de bien, comme le moteur du développement. Ce que les modernes affirment, c’est que l’égalité et la liberté sont deux choses disjointes, non-liées et qui sont totalement permanentes dans le temps qui ne sont pas amenées à évoluées (LOCK, HOBBES, B.CONSTANT) et il y a une égalité politique que l’État met en place. Il y a des inégalités sociales naturelles que l’état ne doit pas modifier → moteur de la société ce qui est spécifique aux grecs est que l’égalité et la liberté vont ensemble. Pour les modernes c’est disjoint mais la conséquence de cette conception est que les inégalités économiques …afficher plus de contenu…
Dans la situation moderne, les lois sont un poids, ils ne veulent pas que l’État s’immisce dans leurs affaires. Les citoyens ne veulent plus obéir aux lois, ils sot comme des esclaves qui ne veulent plus obéir, ils veulent vivre libre sans lois. Pour eux, l’État doit juste s’occuper de la sécurité, et pas de l’école, du prélèvement des impôts. On appelle ça « l’État veilleur de nuit », car le veilleur de nuit ne se contente que d’assurer la sécurité → c’est ce que veux la société à l’époque de Montesquieu.→ cf: Hobbes décrit un contrat social ou certes chacun renonce à sa liberté, et en échange chacun obtient la sécurité, le reste dépend de l’individu qui va organiser sa vie comme il l’entendRousseau critique ce point de vue.Maxime: principe de vieRépublique: chose publiqueUne République est l’idée qu’il y a une chose qui appartient à tous, la chose publique c’est la loi, on gouverne par la