La musique d'une vie de Makine
» = + les secondes défilent + la musique lui fait ressentir des émotions le faisait alors entrer dans un monde onirique et permet de calmer sa « colère philosophique ». · Musique qui est le fil de la narration et non comme bruit de fond comparaison avec « le fils de soie à la sortie du chas » · « Ces notes qui scintillent comme des instant d’une nuit tout autre » = comparaison = la musique le transporte dans un rêve, loin des violences de la 2nd GM 2/ une impression d’effacement, de disparition · Espace et temps historique indéfinis, seul est mentionné le temps des horloges avec le complément circonstanciel de temps « trois heures et demie ». Le narrateur parle …afficher plus de contenu…
=> Un extrait énigmatique par la mise en place d’un cadre mystérieux où le narrateur va suivre la musique et effectuer un trajet symbolique et onirique. II) Un trajet symbolique & onirique1/ Un chemin escarpé qui n’arrête pas son attraction pour la musique-Focalisation interne avec l’omniprésence du pronom personnel « je » = faisant toute sorte d'actions č voir ou se déplacer (v d'action)= « lève », « traverse », « monte »-"Je me lève, je traverse la salle et je monte le petit escalier en bois » ou encore « j’aboutis dans un cul-de-sac ,trébuche sur une pile de couverture » = énumération = donne un effet de profusion en amplifiant la réalité. Le narrateur est comme perdu dans un labyrinthe où il lui est difficile de trouver la sortie.-GN = « cul de sac », « pile de couverture », « pile de draps