La revolte urbaine de paris
I. La révolte urbaine du 24 février 1382.
a) le peuple et sa violence
b) un peuple qui libère les prisons
c) une émeute qui s’étend à Paris
II. La discorde contre les pouvoirs
a) Le peuple qui reprend ses droit envers l’Église
b) refus de l’imposition
c) réaction des bourgeois
III. L’affirmation du pouvoir royal face aux révoltes
a) affirmer sa justice
b) passer par la répression …afficher plus de contenu…
Si on croise d’autre source on retrouve bien ce même nom il serait enfermé 1 an auparavant, il aurait été sacrifié par le pouvoir de la régence après le décès de charles 5 qui lui permettait d’être protégé. En effet, Huguez Aubriost, combattait les pouvoirs municipaux il prônait la baisse des impôts sur la ville de paris. Avec sa libération le peuple reprend une forme de pouvoir contre l’autorité royale. Le peuple souhaite d’ailleurs l'ériger en tant que chef de la révolte pour donner une direction à celle-ci L36 “le menèrent par la ville de paris avec eulx”.
Celui-ci refuse par peur des représailles et L36 “s’en ala hors de Paris”. L’auteur par cet exemple nous donne un point important sur le fait que la révolte n’est pas …afficher plus de contenu…
L’auteur indique notamment le prix de cet impôt : “douze deniers pour livre avec les autres subventions” à la ligne 2-3. Cet impôt n’est pas nouveau et pour aider l’effort de guerre. En effet, à la ligne 16, l’auteur nous parle “du don du roy Charles derrainemet trespassé”. Il parle alors de l’abolition des impôts indirects mis en place par le roi Charles V et supprimés à sa demande en 1380. Cet impôt est donc remis à jour par la régence qui en profite pour l’augmenter en 1381. Une nouvelle qui ne mettra pas beaucoup de temps pour aller jusqu’à Paris puisque l’auteur souligne à la ligne 25 qu’ “en la cité