La femme au XIXème siècle est souvent soumise à une place conditionnelle, elle passe par son mariage de la tutelle de ses parents à celle de son mari. Mais, au XIXème siècle, est-ce que cela la condamne à l’échec ? En premier temps nous verrons la place de la femme dans la société, et pour en finir nous essayerons d’étudier leur éducation et ses conséquences. Ainsi au XIXème siècle la femme est manipulée et conduite au chaos. Elle est soumise à l’homme qui l’utilise et bénéficie d’elle pour son propre intérêt. Qu’il soit pour une simple aventure amoureuse ou pour des intérêts purement économiques. La femme à cette époque est fortement dévalorisée et conduite à des échecs consécutifs. L’homme après avoir manipulé et utilisé la femme, la rejette comme une cigarette que l’on allume, on consomme et l’on jette. En effet dans Dom Juan de Molière, Dom Juan est un personnage infidèle et séducteur, ce jeune noble accumule les conquêtes amoureuses en séduisant les jeunes filles nobles et servantes. La séduction est le seul intérêt de ce personnage et les femmes sont ainsi bafouées et déshonorées après que le beau seigneur en a décidé. Ces femmes sont vigoureusement choqués et ne s’attendent pas à telle réaction, ceci représenterez un échec pour la femme du XIXème siècle.

Par ailleurs au XIXème siècle la femme endure une éducation manipulatrice.
Elle est souvent élevée dans un couvent. Les parents fréquemment par faute d’argent, se débarrassent en confiant la fille au couvent et à la religion. Au couvent elles fréquentent les romans romantiques et elles en jaillissent profondément marqués. Elles nourrissent des ambitions vaines et démesurées en fonçant dans des déceptions. A cause de ses lectures romantiques qui ne font que raconter des faussetés, les femmes mènent une vie pleine de déboires loin de concilier ses rêves.
Ainsi on peut voir cela pour l’œuvre Madame Bovary, de Gustave Flaubert. Dans le roman de