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aaaa"La Commission européenne répond aux préoccupations de la France quant aux pressions aux frontières extérieures communes de l'Union européenne. Il est urgent de rétablir la confiance de nos concitoyens dans notre espace commun de libre circulation", s'est réjoui le Quai d'Orsay à l'annonce de plusieurs mesures phares, mercredi midi, pour "mieux gérer les migrations dans l'Union européenne".
La première est une conséquence directe du profond différend qui a opposé Paris et Rome sur l'entrée dans l'espace Schengen de 25 000 migrants tunisiens. Réticente au début, la Commission européenne a accepté de proposer aux 25 pays de Schengen (22 membres de l'Union européenne plus la Suisse, la Norvège et l'Islande) de pouvoir rétablir "des contrôles limités à ses frontières dans des circonstances exceptionnelles", comme, précise la Commission, "en cas de pression forte et inattendue aux frontières extérieures de la zone Schengen".
Des mesures temporaires
Exemple : la France qui contrôle les passages à Vintimille du fait de ce qu'elle considère comme un afflux massif en Italie d'immigrants venus de la Méditerranée. À l'heure actuelle, le rétablissement des contrôles n'est envisageable qu'en cas de menace grave à l'ordre public, pour des événements prévus ou non prévus. La Commission propose désormais d'y ajouter deux possibilités : en cas de "défaillance" d'un pays aux frontières extérieures à la zone Schengen ou quand "la poussée migratoire est trop lourde sur