Ce texte est un portrait d'un étrange personnage tiré de la nouvelle de Balzac, Le Chef-d’œuvre inconnu. C'est un texte descriptif qui nous présent la première rencontre avec le peintre Frenhofer. La tonalité première du texte est réaliste dut à l'accumulation de détails. Pourtant Balzac développe une description différente au fur du texte ce qui fait ressortir une apparence riche et soignée du personnage et change le registre en registre fantastique. Le texte a comme but d'intriguer le lecteur. On se demande si ce personnage va aider la situation ou s'opposer dans les événements du livre. tout d'abord, l'auteur présent le portrait d'un vieillard en mouvement. Ce personnage inquiète le jeune homme qu'il croise. Les caractéristiques du lieu favorisent l'ambiguïté. La scène se déroule dans une cage d’escalier. Un personnage immobile voit avancer vers lui un vielle homme jusqu'à ce que leurs regards se croisent avant que le passant ne s’éloigne dans l'autre sens. Nicolas Poussin voit monter « un vieillard ». notons alors une focalisation interne car le personnage rencontré est vu, apprécié par le jeune peintre. Ce dernier relève alors deux caractéristiques : la « bizarrerie » et la magnificence » de la tenu. En d'autre termes, il relève la richesse et la beauté des habits, mais aussi leur aspect ancien. Le peintre est choquer par le rabat de dentelle qu'il cite 2 fois : « pourpoint noir », « lourde chaîne d'or ». le vielle homme porte des objets chers et beau, mélanger a des habits d'une autre époque. Ces signes de richesses et son allure son interprété : ce vieillard ne peut être qu'un ami du peintre.
Quand le vieillard passe devant Nicolas, ce dernier ne peut le dévisager. Le jeune se comporte en artiste en montrant sa curiosité envers ce qui sort de l'ordinaire, dans ce cas si, l'ami du peintre. L'artiste repaire ce « quelque chose de diabolique » repris pas le « je ne sais quoi qui affriande ». l'expression insiste sur 2 aspects : le charme