Le bien
Le bien
Aristote affirme que le bien se présente de différentes manières. Quelles sont les implications de cette affirmation notamment sur l’action à entreprendre, la connaissance à maîtriser et sur l’argumentation à utiliser?
La capacité de commettre un acte de bonté est d’après moi réalisable par tous ceux qui veulent le faire. À l’exception comme dit Aristote des fous et des personnes ne pouvant plus réfléchir par eux-mêmes par manque de rationalité et de lucidité. Le désir peut influencer l’action de bonté et la mauvaise action. Le désir peut amener quelqu’un à commettre un acte mauvais pour accéder à un bien physique ou un état de bien-être. Cet acte peut ne pas être perçu par la personne qui la pose comme mauvais, mais aura tout de même des répercussions mauvaises. De telle sorte que lorsqu’une personne pose un acte, elle doit être en mesure d’analyser les répercutions sur le futur. La personne qui pose l’acte mauvais qui n’avait pas l’intention des répercussions qu’elle amène ne devrait pas être considérée comme mauvaise, mais nous devrions plutôt considérer l’acte en soi comme mauvais. À l’inverse, il pourrait y avoir quelqu’un qui commettrait un acte mauvais en toute connaissance de cause, mais dont l’acte serait perçu comme bon ou qui rapportera du bonheur aux autres sans que la personne qui posait l’acte l’ait voulu. Dans ce cas, la personne ne devrait pas être considérée comme bonne malgré le bienfait qu’elle donne puisque ce n’était pas dans son intention. C’est pour ces raisons que nous devons bien choisir les décisions que nous prenons. Ainsi, pour choisir l’action à entreprendre, il faut être capable de juger du bien et du mal que nos actes auront comme répercussions sur l’avenir et aussi sur celles du présent.
Connaître le juste milieu dans la façon d’agir fasse à une situation est un élément important pour être capable de pouvoir agir de façon bonne. La tempérance est une vertu qui doit être utilisée pour agir d’une façon