Le café, l’un des piliers économiques de la cote d’ivoire de 1960 à 2002.
Problématique : l’impact de la culture du café sur l’économique de la cote d’ivoire de 1960 jusqu’à 2002.

INTRODUCTION
L’histoire du café en côte d’ivoire remonte de l’ère coloniale ou les portugais furent les premiers européens à débarquer à partir du XVème siècle. Ainsi, les villes de Sassandra et de San Pedro ont conservé les noms de marins portugais et c'est à cette époque qu'ils débutèrent la traite des esclaves qui s’est poursuivie par les français aux XVIIème et XVIIIème siècles jusqu'à ce qu'elle soit interdite en 1848 par l'Europe entière. Mais peu à peu les européens s’installèrent en côte d’ivoire, et pour satisfaire leurs besoins pour la révolution industrielle de l’occident ils font naitre la culture agricole avec la création de plantation, de banane, de coton, de café et du cacao. Dès la fin de la première guerre mondiale, les mentalités évoluent en ce qui concerne la méfiance envers l'enseignement, notamment grâce à ceux qui rentrent de campagne à l'étranger. De nombreux africains des différents pays de l'AOF partent, ainsi, étudier à Dakar. En 1932 Felix Houphouët Boigny jeune médecin former à l’école de médecine de Dakar milite pour les planteurs de café (ainsi que du cacao). Quelque année plutard il occupe une place prépondérante qui lui permet de faire abolir le travail forcé pour les planteurs. En 1944, ensuite il crée le premier Syndicat Agricole Africain (SAA) afin de lutter plus fortement contre les injustices. Plutard le 7 Aout 1960 il abolit l’indépendance de la cote d’ivoire dont il sera le président. À l’aube des indépendances, les autorités de la Côte d’Ivoire ainsi que le président Felix Houphouët boigny ont engagé une politique agricole qui s’est traduite par la création de structures dédiées au développement agricole, notamment du café (ainsi que du cacao). Elle a connu de nombreuses mutations techniques, structurelles et organisationnelles au fil de son