Le chat et le rat
3) Axes :
Une fable plaisante
Des jeux de langage :
Un rythme rapide :
Dans la fable, le Chat et le Rat, Jean de la Fontaine place à plusieurs endroits des rejets et des contre-rejets, cela permet d’accentuer et de mettre en évidence certains mots, afin que lecteur comprenne que ce passage et particulièrement ce vers sont important pour le contexte ou la suite de l'histoire. Je vais donner quelques exemples et les analyser.
Par exemple au vers 4 et 5 : Toutes gens d'esprits scélérat, HANTAIENT le tronc pourri d'un pin vieux et sauvage. Hantaient est un rejet que Jean de la Fontaine mets en évidence ; on comprends avec ces vers et ce rejet que les personnages présentés au début de la fable ne seront pas les héros de l'histoire, mais plutôt les méchants, puisque Jean de la Fontaine les désignent comme des esprits scélérats avec de mauvaises intentions et au lieu de mettre le mot vivaient ou habitaient, ils préfèrent mettre en avant hantaient, donc ce rejet est un verbe péjoratif et cela a pour effet de rabaisser les personnages.
Au vers 9 : Les derniers traits de l'ombre empêchent qu'il ne voie LE FILET; dans cet exemple c'est le filet qui est mis en avant et c'est parce qu'il sera le déclencheur du problème de l'histoire, c'est -à-dire qu’après ce rejet le début de la négociation entre le chat et le rat commence et se terminera par alliance entre les deux.
Pour finir, Jean de la Fontaine utilise, cette fois un contre-rejet pour mettre en évidence le début de la ruse du chat, cela se situe au vers 14 : Le pauvre Chat dit : CHER AMI, Les marques de ta bienveillance sont communes en mon endroit. Le contre-rejet cher ami est le début de la ruse du chat qui va utiliser la flatterie pour que le rat lui vienne en aide.
Tout au long de la fable, Jean de la Fontaine place des rejets et des contres-rejets, qui sont plus ou moins important pour la suite de l'histoire.
3) Axes :
Une fable critique
Une critique sociale :
Avec cette fable, Jean