Le chêne et le roseau
Le chêne et le roseau de Jean Anouilh est une imitation, ce n’est pas seulement le titre que Anouilh reprend mais aussi les personnages et même l’histoire (mort du chêne), on pourrait même allez jusqu’à la longueur de ces fables qui sont très similaires. Il reprend aussi la personnification de ces personnages bien que ceux-ci ne représente pas la même chose. En effet Anouilh ne fait pas que reprendre inutilement la fable de la Fontaine, il change la fonction des personnages, la morale de l’histoire, tout est inversé cela nous indique aussi que la morale de al Fontaine à cette époque n’est plus de mise les mentalités ainsi que le monde a changé).
Dans la fable de la Fontaine le Chêne représente quelqu’un de trop fier voire arrogant, sûr de son pouvoir, de sa force: «Cependant que Caucase pareil, Non content d’arrêter les rayons du soleil, Brave l’effort de la tempête.» , qui en vient même jusqu’à ce moqué de l’aspect des autres plus chétif: «Un Roitelet pour vous est un pesant fardeau». La Fontaine montre la domination du Chêne par ses moquerie mais aussi grâce à son «temps de parole» celui-ci est beaucoup plus long que celui attribué au roseau. de plus c’est lui qui engage le dialogue: «Le Chêne un jour dit au Roseau : Vous avez bien sujet d’accuser la Nature».
Tandis que dans la fable de Anouilh le chêne est fier mais pas arrogant bien que la philosophie du roseau de plier l’échine lui échappe il ne se permet pas de se moquer de lui. Ici le dialogue est «équitable» le chêne parle autant que le roseau.
De plus dans ces deux fables le Chêne meurt mais ce sont les attitude de ceux-ci qui ont diriger la