Le comique repose sur le personnage de Scapin qui entraine les spectateurs dans un rythme et une agitation effréné . Le spectateur qui est complice du valet ce moque de Geronde et attend de voir comment le valet va surmonté l’avarice du maitre . La scène s’ouvre sur un jeu de scène comme nous montre les didascalie . Au début du dialogue Scapin se livre à une improvisation et entraine le spectateur dans un monde féérique (un jeune turc) . L’aventure narrer par Scapin se déroule dans un univers précieux et hyperbolique (l 37) tout les déterminant se révèlent plus merveilleux les uns que les autres. (l38). Malgré tout Géronde est totalement insensible a cette description. Son matérialisme l’emporte . Le comique va se libérer avec l’opposition constante entre l’extravagance constante du récit de Scapin et l’obsession de vieil avar. Le récit de Scapin s’accélère (l43 44 45 ) Le valet réussit a impliquer Geronte par l’emploi du vous à la fin du récit . Scapin à réussit a dramatisé la situation en concluant sur un alexandrin ( ligne 46 47) . Malgré le caractère fantaisiste du récit il arrive à lui donner des accents dramatiques. Mais Géronte se révèle étranger a tout ce qui s’écarte de son système de valeurs. Et ne retient qu’un seul élément : L’argent ! (vers48). Pas une seule fois il ne met en doute la vraisemblance du récit de Scapin et l’idée fixe du personnage devient un élément comique majeure de la scène. Cette scène est particulièrement connue en raison de la déploration de Géronte : « Mais que diable allait-il faire dans cette galère? » Elle apparait 7 fois dans le dialogue ( lignes 55 61 73 85 101 118 156) avec parfois une variable. Comme toujours le sens de la phrase évolue dans la scène et devient de plus en plus burlesque , bouffonne .En fondant la rime sur faire-galère Molière renforce la dimension comique et souligne l’entêtement du vieille homme. Cette répétition permet a Scapin de ridiculisé Géronte (ligne 125) . Grâce a ses aparté le valet conforte