Le conte philosophique
Chevillat
1ereES
QUESTION
Le conte philosophique nou est présenté par deux texte de Voltaire, l'Histoire des vyages de Scarmentado écrite par lui-même en 1756 et la lettre à Monsieur le cmte d'Agental du 27 mars 1762. Dans l'extrait des voyages de Scarmentado , ne leçon implicite y est à en tirer. Voltaire cherche à nous faire comprendre qu'une religion n'est pas quelque chose à prendre à la légére et que chacune d'elle ne se pratiqunt pas de la même façon. En effet, lorsque Scarlentadoalla à Sévile il vit une "auguste famil" qui "était sur un autre trône mais plus élevé" ce qui ressemble à bien plus qu'une simple famille royale puisqu'elle est sacré , car , lorsque Scarmentad va lancé un "moquerie" vis à vis de cette famille, il lui en couta chér en conséquence. Une cérémonie, un sacrifice leur est également réservé puisque "on chanta un dévotement de trés belles priéres, aprés quoi on brûla à petit feu tous les coupables" qui peut être comparé à une scéne religieuse. Dés que Scarmentado prononce des paroles indiscrétes, il est puni. Ensuite, en Amérique il remarquera que le rituel que pratique l'évéque est de faire également des sacrifices "mais quand on réduirait ces sacrifices à cinq millions de victimes, cela serait encore admirable. Encore une fois ce sont des pratiques que Scarmentado ne comprend pas. En Turquie, il verra qu'il y a "beaucoup plus d'églises Chrétiennes qu'il n'y en avait dans Candie ou ils prient les vierge Marie librement et maudisent en revanche Mohamed. Tout au long de son voyage Scarmentado nous fait connaitre ses erreurs face aux différents religions qu'il a pu rencontrer.
Les deux contes de Voltaire cherchent tout les deux à dénoncer la religion et ses pratiques différentes qui varient selon les cultures et les principes correspondantes à chaque religions. L'homme d'aprés lui face à la religion peut être cruel , intolérant