Les coups de foudre n’existent-ils qu’au cinéma ? Non, bien sûr que non. Ils prennent forme dans la littérature, et nourrissent la créativité des auteurs tels que Flaubert, Madame De la Fayette ou encore Balzac. Bien sûr, pour affirmer mes propos j’ai moi-même fait une analyse des textes suivants : La Princesse de Clèves, Le Lys dans la Vallée, L’éducation Sentimentale et Premier amour ensuite, j’ai relevé les points communs afin de les mettre en valeur.
Le coup de foudre paraît être quelque chose d'unique et de formidable, c'est du moins ce que ressentent les personnes qui se disent avoir été frappées de la fameuse « décharge électrique » de l'amour. Cette expérience intrigue beaucoup car on ne la comprend pas vraiment, c'est quelque chose qui nous arrive et que l'on ne peut ni expliquer ni contrôler. D'ailleurs on retrouve ce thème magique dans de nombreux romans tel que La Princesse de Clèves ou encore Premier Amour où le protagoniste épris d’une passion folle et incontrôlable le conduisant dans un tourbillon d’émotions, et d’amour, tout cela causé par un simple échange de regards. Souvent narré au passé simple ou à l’imparfait, tantôt au style direct, tantôt au style indirect, le genre du roman peut vaciller d’un auteur à l’autre. Le moment de la journée change. De jour comme de nuit, pendant un diner ou alors une après-midi.
Dans Le Lys dans la Vallée et Premier Amour, on voit que le narrateur est dans l’histoire, je veux dire que l’histoire est contée à la première personne du singulier, donnant une impression de confession vis-à-vis du lecteur. Nous voyons alors la personne aimée et chérie à travers les yeux du narrateur qui, souvent, est un homme. Dans Le Lys dans la Vallée de Balzac, on commence par une atmosphère plutôt solitaire, morose ; et soudain, cette sublime jeune femme qu’il décrit comme la huitième merveille du monde vient donner un petit « coup de pinceau » à la vie du narrateur. Alors, ce dernier est victime du coup de foudre en posant ses