Le desir philosophie
Nous allons nous pencher sur la notion du désir. Selon la définition de Platon le désir ne serrait qu’une expression d’un manque. Le faite de manquer nous amènes a la souffrance. Le désir n’est pas non plus un besoin mais une envie profonde, encrée et parfois incontrôlable, généré par des pulsions.
Se demander si l’on doit satisfaire tous nos désirs est donc une question que l’on est en droit de se poser, et qui surgit au beau milieu de nos existences, sans nous laisser vraiment le choix.
Il semble alors naturel que je souhaite satisfaire mes désirs pour combler le manque. L ‘objet du désir m’apaise et concourt a mon bonheur. Toutefois, une telle satisfaction est-elle toujours possible ? N’existe-il pas des désirs mauvais, inquiétants, qu’il ne vaudrait mieux pas réaliser ? Egalement si lorsque chaque désir satisfait mène a un bonheur momentanée, lorsque tout les désirs réaliser, ne serions nous pas en présence d’un sentiment de vie amer ?
I. Penchons nous sur le faite qu’il faut satisfaire nos désirs, car ils sont guide de notre vie. Le désir permet à l’homme d’avoir un objectif, un but qu’il souhaite accomplir pour soulager le sentiment de manque traduit par le désir.
A. Donc Il faut satisfaire son désir car le désir est une condition de la vie humaine : désirer, c’est d’abord inscrire son existence dans la durée, puisque le désir est inséparable de la projection dans l’avenir. Spinoza, tout particulièrement, a mis en avant cette conception positive du désir. Puissance d’affirmation de la vie, c’est le désir qui donne de la valeur a ses objets, et non l’inverse : c’est parce que nous désirons une chose que nous la jugeons bonne, le désirables ne préexiste pas au désir, il est crée par lui. Kant écrira « La faculté de désirer est la faculté d’être, par ses représentations, cause des objets de ces représentations. La faculté que possède un être d’agir conformément a ses représentations s’appelle la