Le décrochage scolaire
La situation d’actualité suscitant un débat d’ordre social que je présente est le décrochage scolaire chez les jeunes. Ce problème prend des dimensions inquiétantes au Québec suite à l’augmentation du taux de décrochage dans les dernières années. Cela permet de constater que les jeunes n’accordent pas de l’importance à la poursuite de leurs études et ils avancent le principe de la liberté pour prendre une telle décision dans leur vie.
L’interprétation de ce débat est problématique puisque les jeunes ne savent pas quelle est la limite de la liberté. Selon Socrate, pour bien comprendre le problème, il faut le généraliser. Nous ne devons pas arriver avec des exemples concrets par rapport à un sujet en particulier. Nous devons comprendre la définition puis passer du général au particulier. En premier lieu, nous avons les jeunes qui veulent vivre leur vie en toute liberté sans aucune limite; cela se manifeste sous plusieurs formes, mais la plus remarquable dans notre société est que les jeunes veulent toujours sortir pour s’amuser à la place d’étudier. En deuxième lieu, les parents de ces jeunes considèrent qu’il y a des limites pour cette liberté et que la priorité dans la vie des jeunes doit être accordée aux études. En troisième lieu, il y a la société, représentée par les institutions scolaires et les regroupements civiques, qui fait un effort pour améliorer les résultats scolaires des jeunes en offrant l’aide aux devoirs tout en créant des centres d’amusement et de divertissement.
Or, les trois composantes impliquées, à savoir : les jeunes, leurs parents et la société sont d’accord sur le fait que la liberté est une valeur humaine fondamentale. La problématique se trouve au niveau des limites de cette liberté.
On second on peut dégager les caractéristiques qui sont en lien avec la limite de la liberté avec le gain de vie est l’amusement. Le gain de vie se fait dans des limites précise, on ne peut pas travailler dans une compagnie